Après le magnifique titre de champion de France UNSS d’aviron Indoor 2023 obtenu à Paris, le collège Sabine-Zlatin s’est à nouveau qualifié pour le championnat de France. Ce dernier a eu lieu le 2 février au stade Charlety à Paris.

La compétition, placée sous le signe des Jeux Olympiques, a accueilli 32 académies parmi lesquelles figuraient la Guadeloupe et la Nouvelle Calédonie.

Au programme, les épreuves habituelles : 1 000 m individuel et 2 000m en relais sur ergomètre (machines à ramer). Malheureusement, cette année les jeunes rameurs belleysans ont obtenu obtiennent la 19e place. « Ils se sont bien défendus mais cette année, l’expérience et le gabarit nous a manqué », a déclaré William Raynaud, leur professeur.

La composition de l’équipe qui a défendu les couleurs du collège Sabine-Zlatin : Célia Boisson, Ethan Feugère Mabire, Gabrielle Andrieu, Lucas Sourbier, Malaury Cavassoni, Yaël Bouchard, Lola Bijot, Théo Pardoux. Bravo à eux !

La compétition s’est terminée par une visite de la Tour Eiffel scintillante et des Jardins du Trocadéro.

Jeudi 1er février, les néo-Belleysans ont été accueillis à L’Intégral. Après une présentation des grands projets et des services municipaux, la parole a été donnée aux représentants de l’office de tourisme et l’Ucab. La soirée s’est achevée dans la convivialité, avec une remise de cadeaux de bienvenue.

 

A l’initiative du CCAS de la Ville de Belley, de la Communauté de communes Bugey-Sud (CCBS) et du Département de l’Ain, un logement d’urgence, géré par l’Orsac, va permettre de répondre à des besoins ponctuels de personnes victimes d’un incident de parcours (fin d’hébergement familial, victimes de violence, catastrophe naturelle, décès du conjoint, etc.).
Le logement situé en centre-ville, à proximité des écoles, commerces et services, est meublé et sécurisé.
L’attribution se fait par le Centre Départemental de Solidarité (CDS) qui priorise les dossiers et les adresse à l’Orsac. Le logement peut être mis à disposition pour 3 mois renouvelable une fois. Une participation est demandée selon la situation du bénéficiaire. Le loyer est pris en charge par le CCAS de la Ville de Belley et la CCBS.
Fondée à Hauteville (Ain) en 1937 et reconnue d’utilité publique par décret du 25 janvier 1952, l’Orsac, Organisation pour la santé et l’accueil, est une association loi 1901, gestionnaire de 89 établissements et services. Son action dans les domaines sanitaire, social et médico-social s’étend sur plusieurs secteurs d’activité : sanitaire, santé mentale, protection et éducation des jeunes, handicap et insertion, dépendance et grand âge.

L’année 2024 annonce une nouvelle vie pour l’Espace Robert-Rameaux. Depuis sa prise de fonction et avec sa ferme volonté de faire revivre cet équipement, l’équipe municipale a porté une réflexion sur le mode de gestion le plus pertinent pour y parvenir et c’est la délégation de service public qui a été retenue.
Toutes les étapes ont été franchies par Obatala. Cette association, qui a son siège à Belley, est également implantée à Marignieu. Elle dispose d’une forte expérience dans la diffusion des musiques actuelles, la production et la création artistiques, d’un réseau important et d’une notoriété territoriale.
Outre sa programmation musicale, l’association Obatala développe aussi beaucoup de projets d’EAC (Education Artistique et Culturelle) en partenariat notamment avec la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) et le Département de l’Ain.
« Les différents espaces du site vont nous permettre de poursuivre ce travail et d’offrir aux publics et aux usagers une qualité d’expérimentation indéniable ! », explique Ophélie Santini, directrice de production d’Obatala. « Répondre à la DSP s’inscrivait dans notre volonté de pérenniser nos actions sur le territoire et de mettre en valeur les artistes locaux nombreux et de qualité. »
Le projet d’Obatala comporte plusieurs axes :
– la programmation de musiques actuelles et à moyen terme après quelques aménagements la programmation pluridisciplinaire en proposant des spectacles assis (musique, danse, théâtre…).
– un studio de répétition pour les groupes de musique locaux,
– un studio médias pour les acteurs locaux et pour les ateliers de vulgarisation,
– des actions d’éducations artistiques et culturelles : ateliers d’éducation aux médias, de beatmaking, ateliers de créations musicales et d’écriture de texte, …
– le musée numérique Micro-Folie dont est dotée l’association depuis mars 2023, formidable outil d’ouverture sur le monde des arts plastiques,
– l’accueil des activités des associations locales via des partenariats,
– des bureaux partagés et des temps de réflexion sur les pratiques professionnelles et la mutualisation d’outils.

Depuis le 15 janvier, l’aménagement de l’Îlot Baudin a débuté. Le chantier d’une durée d’un an, sera découpé en 5 phases.

Le projet

Le nouvel Ilot Baudin fait suite aux travaux d’aménagement de l’ensemble Semcoda, abritant entre autres la maison médicale, au succès grandissant, et une résidence séniors. Il semblait évident de repenser l’ensemble, dans un souhait d’amélioration du cadre de vie.
La voirie sera principalement travaillée afin de repenser la circulation autour de l’îlot. On ne passera plus sous l’arche en voiture, car la place sera entièrement piétonne, à l’exception des vélos qui trouveront leur voie, avec une connexion à la ViaRhôna, itinéraire cyclable.
La rue Sainte-Marie deviendra en partie à sens unique, évitant ainsi de se croiser sous la Vieille Porte et permettant d’accéder facilement au nouveau parking. A noter également la création de places de stationnement pour Personnes à Mobilité Réduite (PMR) aux normes les plus récentes, leur permettant d’accéder au nouvel espace Baudin de manière très simple. Le cheminement
aura aussi la part belle, avec des trottoirs repensés, élargis et accessibles aux poussettes et PMR.

Une place de choix pour le végétal

Et puis, bien sûr, l’aspect de la place, où se tient actuellement le marché, va radicalement changer. Fini l’enrobé, place aux matériaux lumineux, aux arbres et aux espaces de convivialité. Vous pourrez profiter des pergolas végétalisées, de l’ombre des arbres et de sols verdoyants. Le temps des arbres enfermés dans des grilles est révolu.
Ils sont désormais entourés d’herbes et de végétaux, tous élevés en condition et sélectionnés pour leur robustesse et leur persistance, créant ainsi des zones de fraîcheur naturelle. Belley vise ainsi la qualification d’exemplarité environnementale, grâce à ses choix audacieux, et novateurs en matière de végétalisation. Enfin, la Vierge du Mail aura elle aussi sa mise en beauté, avec la plantation de nouveaux arbres et la mise en place d’un sol végétalisé, un accès pour les services de secours et une desserte pour l’hôtel.
Parallèlement, l’OPAH Façades (Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat) permettant de contribuer à la rénovation de votre façade sera mise en avant afin d’inciter les propriétaires à rénover en bénéficiant d’une aide pour leurs travaux.
Ainsi, juniors comme séniors, actifs comme retraités trouveront là un espace de détente, de pause, agréable à regarder, qu’ils pourront s’approprier tel un point de rencontre.

Ce qu’il faut retenir

/ Création d’un îlot de fraîcheur (végétalisation de 1 000 m²) et d’une zone de rencontre apaisée.
/ 100 % mobilité douce et accessibilité.
/ Un projet concerté avec les riverains et les usagers.
/ Report du stationnement en surface sur le parking souterrain de la Vieille-porte.
/ Pour chaque phase une information précise sera faite sur les itinéraires de circulation.
/ La circulation et le stationnement sur la rue Béraudier seront maintenus jusqu’à la réalisation de la phase 5 fin 2024.
/ L’accès au parking souterrain Vieille porte sera possible pendant la durée du chantier tout comme l’accès aux commerces et équipements.

Coût

1,3 M€ TTC, financés par l’Europe, l’Etat, la Région, le Département, la Communauté de communes Bugey-Sud & la Ville de Belley

Phasage du chantier

1. Place Baudin – janvier/février 2024 – Neutralisation du parking de la Résistance du 29/1 au 29/3
2. Rue de la Résistance et îlot de la Vierge février/mars 2024
3. Avenue Sainte-Marie et passage sous Vieille porte
4. Grande rue
5. Rue Béraudier, espaces verts et carrefour rue Saint-Jean

L’histoire du lieu

Originellement, l’Ilot Baudin était un quartier d’artisans du cuir : tanneurs, corroyeurs et selliers tenaient boutique dans ce qui était une impasse, ceinte par l’ancienne muraille de la
ville. A l’est se trouvait le couvent de la Visitation (devenu par la suite l’école de la Vieille Porte) et de l’autre côté, la rue des Boucheries menant aux abattoirs du clergé, démolis en
1898. La rue créée par cette démolition devient alors avenue Alphonse-Baudin (médecin et homme politique français du XIXe siècle) et va jusqu’à la montée de Léchaud.
En 1985, un projet de modernisation comprenant la destruction des bâtiments vétustes et la construction d’un hôtel, un cinéma, une place et des bâtiments administratifs est acté. D’un côté, le bloc commercial, de l’autre, l’école de la Vieille porte et sa cour de récréation, et au milieu l’avenue Charles Béraudier.
On inaugure l’Ilot Baudin le 19 décembre 1988, ainsi que la fameuse fresque de L’Arlequin de Fayolle en céramique, réalisée par Hélène Colrat et installée par François Perrino.
Enfin, en 2013, après la fermeture de l’école, le conseil municipal vote la cession du bâtiment de la Vieille porte à la Semcoda. L’ancien couvent devenu gendarmerie puis école est rasé, des fouilles
sont réalisées et mettent au jour un ensemble gallo-romain. Le nouvel ensemble immobilier comprenant logements, maison médicale et parking est alors érigé : l’îlot Baudin devient tel qu’on le connaît aujourd’hui.

 

Esquisses : Dynamic concept, bureau d’étude

Plan de masse au 25/01/2024

Le marché hebdomadaire, qui se tient tous les samedis matins, est désormais entièrement piéton. Une campagne d’information a été déployée sur les supports de la ville et sur les stands des commerçants. Six figures habituelles ont incarné cette communication dont Lucien Masset, fleuriste à Satolas-et-Bonce, présent sur les marchés de la région depuis 67 ans dont 40 à Belley.

C’est sûr et c’est certain : vous qui aimez flâner sur le marché de Belley, vous connaissez forcément M. Masset, le fleuriste. Et pour cause, il enchante chaque samedi les rues de Belley depuis presque 40 années et les marchés de la région depuis 67 ans.

Retour sur une vie parsemée de marguerites et de carthames.

Né à Corbelin, Monsieur Masset, 81 ans, a toujours aimé les fleurs, depuis tout petit. Et ses parents cultivateurs l’ont encouragé dans cette voie. C’est donc naturellement qu’à 14 ans, il réalise un apprentissage par correspondance. Déjà avec son patron, il sillonne les marchés. Et c’est difficile. Il se lève tôt, fait de grosses journées et se couche tard. Car les fleurs, ça demande du travail. Le sol, l’entretien, les graines, la préparation du marché, la route … Autant de tâches qu’il aime et qu’il réalise avec plaisir. Il part ensuite faire l’armée et à son retour, fait les marchés à Saint-Claude pendant huit ans.

Qui sème des fleurs, récolte des bouquets.

En 1970, il prend une place d’ouvrier. Il travaille huit heures par jour à l’usine et lorsqu’il rentre, travaille autant d’heures pour ses fleurs. Et en 1987, il passe à temps-plein à son compte… tout en construisant sa maison lui-même sur ses week-end. Lucien Masset est perfectionniste, voire maniaque selon ses propres mots. Il gère toute sa production, chez lui, et aime que tout soit ordonné, impeccable. Et c’est grâce à cette rigueur qu’il produit, même encore aujourd’hui, ses propres graines, toutes ses fleurs, fraîches ou séchées pour lesquelles il construit des serres, dont certaines dédiées aux fleurs séchées qu’il travaille “comme le tabac, la tête en bas”, avec du chauffage pour aider le processus. Il échelonne ses semis pour produire en continu et prend même le temps de se consacrer à la vannerie pour fabriquer les contenants pour ses créations, car il ne trouve pas ce qu’il souhaite à l’époque. C’est un touche-à-tout, méticuleux, travailleur.

Un peu, beaucoup, passionnément.

Cette implication dans son travail fera de lui dans la région une référence en matière de fleurs, fraîches ou séchées. On lui commande des couronnes mortuaires jusqu’à Paris, on le connaît pour ses immortelles, et il fournit en gros de nombreuses entreprises, grâce à sa production locale et raisonnée, très avant-gardiste pour l’époque, écologiste, éco « logique » pourrait-on dire. Il ira même jusqu’à emmener ses créations séchées pour faire des marchés lorsqu’il partira en vacances, dans le Sud, car “le repos, c’est bien, mais dix jours pas plus, sinon, je m’ennuie.” Mais malgré tout, il garde un affect particulier pour les marchés, qu’il aime et qu’il fait avec énormément de plaisir, même lorsqu’il fait froid, ou même lorsqu’il y a de la route.
M. Masset pourrait prendre sa retraite, évidemment, mais il ne veut pas. Il continue, avec son fils Eric ayant pris la relève de l’entreprise, d’être présent sur les marchés et d’en savourer chaque instant. “Oui, c’est difficile, mais non, je n’ai pas envie d’arrêter. J’ai eu une opération du cœur il y a une vingtaine d’années. On m ‘a réparé et c’était reparti ! Le travail, l’activité, la passion conservent” dit-il. “Je bêche, je passe la triandine tous les jours, je ramasse les cailloux, je cueille mes fleurs, j’organise mes graines dans mon congélateur, je prépare mes bouquets, je suis à l’écoute des saisons et du temps, bref, je n’arrête pas et grâce à cela, je suis toujours aussi vaillant. Et bien sûr, je mange sainement, grâce à mes légumes, je me soigne avec mes plantes. J’ai une vie simple.”

Bouquet, mais pas final.

Et quand on lui demande pendant combien de temps il aimerait encore continuer, il répond sans hésiter, avec un grand sourire, que “seule la maladie l’arrêtera”. Il sort alors son album photos qu’il garde près de lui, en montrant les photos de jeunesse, dans ses jardins, en présentant son épouse, en parlant de ses légumes géants et des fleurs qui sèchent, avec pour simple remarque : “Pourquoi arrêterais-je ? C’est toute ma vie.” Alors, les samedis, profitons du doux sourire et de la voix paisible de Lucien Masset, qui emballe soigneusement tulipes et glaïeuls dans du papier journal, “comme avant”, et qui, le temps d’un instant, nous rappelle à quel point les fleurs apportent du bonheur, à quel point il est agréable d’échanger avec un passionné, avec un amoureux de son travail, qui cueille jour après jour les roses de la vie.

Dans le cadre du renouvellement du projet social, le Centre social Escale de Belley souhaite recueillir vos besoins, vos attentes, vos satisfactions, vos inquiétudes, vos mécontentements, vos interrogations, ainsi que vos propositions et vos idées.
Vos retours permettront d’adapter les futures actions proposées au sein du centre social Escale à vos besoins et vos modes de vie.

‼️ 𝗤𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲

Il est individuel (plusieurs réponses possibles par famille mais effectuées séparément)
A partir de 11 ans
Possibilité de répondre de façon anonyme.
Durée : 5 minutes
Date limite : 15 février 2024

Un questionnaire papier peut être retiré et déposé
▪️ au centre social Escale (170 avenue Paul Chastel)
▪️ à l’accueil de la mairie (11 boulevard de Verdun)
▪️ à la médiathèque (rue des Cordeliers – palais épiscopal)
dans l’urne prévue à cet effet. Vous pouvez aussi l’envoyer par courrier au 170 avenue Paul Chastel – 01300 Belley, ou par mail à centresocial-accueil@ccas-belley.fr.

+ d’infos : centre social Escale – 04 79 81 26 56

A partir du 6 janvier prochain, la Ville de Belley rendra le périmètre de son marché 100 % piéton afin d’apporter plus de confort, de sécurité et de convivialité.
Le périmètre s’étendra du boulevard de Verdun à la place des Terreaux comprise en passant par la Grande rue (jusqu’à l’intersection avec la rue Saint-Jean).
Certains commerçants occuperont un nouvel emplacement. Une affichette, présente sur le stand de celles et ceux qui sont concernés, informera de leur localisation à partir du 6 janvier.
Après une période de tests et de concertations des riverains, le plan de circulation entrera en vigueur à partir du lundi 27 novembre. Suite à ces observations, les sens de circulation des rues Grammont et Cordeliers ont été conservés. La rue des Barons, elle, revient à son sens initial.
𝗥𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗼𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀
👍 Piétonniser le centre-ville lors des évènements et du marché hebdomadaire le samedi matin (dès janvier 2024) pour favoriser la convivialité.
👍 Garantir une plus grande sécurité aux abords de l’école des Cordeliers.

Trois ans après l’élection du Maire et de son équipe, l’heure est au bilan. Jeudi 19 octobre, à L’Intégral, la Municipalité a proposé sa première réunion publique de bilan mi-mandat. Retour sur une soirée riche en échanges.

Durant cette réunion conçue sur un format d’une heure, Dimitri Lahuerta, maire de Belley, s’est adressé aux Belleysans pour rendre compte des actions menées depuis le début de son mandat et expliquer les projets à venir. Il a ainsi partagé sa volonté de rénover et repenser l’espace public et de créer de nouveaux espaces sportifs.

Les adjoints au maire et les conseillers municipaux ont également pris part à la réunion. Ils ont répondu aux questions environnementales, sanitaires ou encore culturelles des personnes présentes. Tout cela dans une ambiance conviviale.

La réunion s’est clôturée par le traditionnel verre de l’amitié, un moment riche en relations cordiales entre la Municipalité et les Belleysans.

D’autres rendez-vous vont être proposés jusqu’au 15 novembre :

  •  Réunion publique 2 > Salle des fêtes | Jeudi 9 novembre | 19 h
  •  Réunion publique 3 > École Jean-Ferrat | Mercredi 15 novembre | 19 h
  •  Live Facebook > Jeudi 2 novembre | 19 h (vos questions dès maintenant à com@belley.fr)
  •  Exposition de rue > Halles, place des Terreaux | Du 20 octobre au 15 novembre